Around the NBA

Non Torontooooooooooo c'est possible sa IG? ^^

Lol le cheat Toronto ^^

TORONTOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !!!!!!!!!!!

Ce match 7 de Lowry à la Q pour aller en Finales 8) <3

A l'Ouest, Westbrook et le Thunder se sont plus que bien défendus, mais la logique est finalement respectée  

Hâte de voir la Finale de mes petits Raptors  Go Raaaaaaaaps

Les Raptors en finale face aux Warriors ça c'est fun !
J'espère que ça va être un bon duel, et clairement j'ai choisi mon camp.
Je dois te dire que ton système est super intéressant et j'aime beaucoup ta narration.

Vivement la finale !!

Les Raptors en finales ! Y en a un qui doit être content 
Et Westbrook qui a failli sortir GS, j'aurais ri.

Bens14 a écrit:J'espère que ça va être un bon duel, et clairement j'ai choisi mon camp.
Je dois te dire que ton système est super intéressant et j'aime beaucoup ta narration. 

Merci pour ces compliments, content que mon concept soit apprecié !
Bon sinon, je vois que Toronto à ses partisans ici. J'avoue que j'ai pensé direct à K-Low7 après leur qualif


Finals 2017 :

Nous y sommes enfin ! Le dénouement de la saison va enfin se jouer devant le monde entier. Une finale qui passionne d'avance tout les fans de basket, tant le profil des deux équipes est différent:

- D'un coté, les Golden State Warriors, ultras favoris depuis le début de saison, qui même si leur parcours en playoffs s'est avéré plus compliqué que prévus, s'est quand même hissé en Finales, là où tout le monde les attendait. Une équipe qui repose énormément sur les individualités de son "big 4" (Curry-Thompson-Durant-Green), quand l'un semble en méforme, un autre semble directement prendre le relais, donnant une impression de quasi invincibilité. Impression seulement, puisque son secteur interieur représente un vrai talon d'Achille...

- De l'autre, les Toronto Raptors, dans le rôle de l'outsider. Certes, la franchise canadienne montre des signes de progression régulière depuis quelques années déjà, mais peu de monde les attendaient à ce niveau dès cette saison. Le tandem Kyle Lowry et DeMarr DeRozan semble marcher sur l'eau depuis quelques semaines, leur demonstration de force face aux Cavs a achevé de convaincre les scéptiques.

Et c'est dans une Oracle Arena surchauffée que ces finales se sont entamées. Valanciunas blessé, c'est le rookie autrichien Jakob Poeltl qui a pris la place de starter au poste 5 du coté des Raptors. L'interim aura été bien assuré cependant, puisque Poeltl compilera 11 points, mais surtout un très propre 5/5 dans la raquette. Lowry et DeRozan, eux ont deroulés, auteurs de 23 et 25 pts respectivement. Coté Warriors, c'est le naufrage, Curry passant complètement à coté de son match, auteur d'un 5/15, Thompson restant pour sa part muet (4 petits points !). Les Raptors s'imposent d'entrée 97 à 84 dans ce Game 1, dans la stupeur générale.

"Mes gars ont été solidaires en défense, appliqués en attaque, et Jakob (Poeltl) a fait son job, faisant taire les critiques sur son manque d'experience" à déclaré Dwayne Casey aux micros d'ESPN.

Game 2, les Warriors reviennent remontés à bloc, ayant à cœur de se racheter devant leur public. Mais Toronto, dans la lignée du Game 1, l'emporte à nouveau, et largement puisqu'ils s'imposent 96 à 80. Curry reste dans ses travers, rentrant que 31% de ses tirs. Durant et Thompson semblent avoir repris le jeu à leur compte, mais cela n'a pas semblé suffisant.

"Je suis responsable de ces deux défaites, je m'en excuse auprès de mes coéquipiers et de notre fantastique public, qui nous a malgré tout toujours soutenu. Maintenant je me concentre sur le Game 3 à Toronto, nous ne sommes pas mort, une finale ne se résume pas à deux match heureusement..." à déclaré Stephen Curry, semblant moralement très atteint à l'issue de la rencontre...


Lowry et les Raptors ont complètement déstabilisés les Warriors chez eux.

Game 3 : L'air canadien à redonné des couleurs aux Warriors, qui s'imposent avec autorité à Toronto, sur le score de 97 à 89. Cette fois Curry, auteur de 26 points avec un beau 8 sur 13 aura assuré son rôle. Mention spéciale à l'apport de Shaun Livingston et ses 15 pts en sortie de banc.

Game 4 Toronto met Golden State au pied du mur avec une 3e victoire (rétablissant enfin la logique de domicile/extérieur dans cette série au passage). Une équipe menée 3-1, ça vous rappelle quelque chose?

A partir de là, les Warriors ne laisseront plus aucune chance aux Raptors : Victoire 97-92 au Game 5 à Oakland, les Warriors arrachent la victoire en fin de rencontre, les Raptors frôlant pour le coup le titre...

Puis au Game 6 vient le vrai tournant de la série : une taulée mémorable 117-78 au Air Canada Center, pour arracher le match 7 (3e série de suite en 7 matchs pour Golden State...), avec 34 points de Curry et 30 de Durant. Les Warriors redeviennent donc à nouveau favoris, puisqu'ils reviennent en Californie pour le match le plus crucial de la saison...

Les Raptors entameront le premier quart temps du Game 7 sur les chapeaux de roues, menant 23 à 17. Mais le match change complètement de physionomie dès le deuxième quart temps, les Warriors, bien emmenés par un Draymond Green au top de son agressivité, prennent le large et finissent la première mi-temps sur le score de 48 à 36. Avec leur confiance retrouvée, ils continueront de dérouler jusqu’à la fin du match, qui se terminera sur le score de 103 à 77.



Les Warriors fêtent donc là le 5e titre de leur histoire, avec un titre de MVP des Finals pour Stephen Curry, si maladroit en début de série, mais si décisif ensuite. Toronto pour sa part échoue près du but, mais désormais, c'est tout le monde du basket qui portera un regard nouveau sur la franchise canadienne, une équipe capable d'emmener au match 7 l'une des meilleure équipe de tout les temps (sur le papier du moins).

"On a gagné nos lettres de noblesses, même si un titre aurait permis de valider tout ça. Tant pis. L'équipe est encore jeune, nous avons une très grosses marge de progression, et notre duo DeRozan-Lowry constitue peut-être la meilleure paire d'arrière de toute la ligue. De quoi être optimiste pour les années à venir. Ces Warriors ne sont pas invicibles, nous l'avons démontré, et nous avons aussi démontré que nous n'avions peur de personne dans cette ligue..." à declaré le GM de Toronto Masai Ujiri en conférence de presse.

"Ces playoffs nous ont exténués. Bravo aux Raptors, ils sont redoutables, et nous sommes fiers d'avoir pu réaliser un tel come back face à une équipe si talentueuse. Je crois que je suis encore plus heureux qu'en 2015, le scenario, le déroulement de tout ces playoffs même, ça a été de la folie... Je me sentais responsable de l’échec de mon équipe, je m'en serais tellement voulu si nous ne remportions pas le titre, après la déception de l'an passé face à Cleveland, cela aurait été tellement dur à digérer... mais tout ça c'est de l'histoire ancienne, nous sommes à nouveau CHAMPIIIIONS !" à déclaré Stephen Curry en fêtant le titre.

"C'est le plus beau jour de toute ma carrière professionnelle, le rêve de tout basketteur. Je suis venu ici spécialement pour ça, je suis fier de faire partie de l'histoire de cette franchise, d’évoluer avec des monstres tel que Stephen Curry, Draymond Green ou Klay Thompson. J'espère que nous allons pouvoir fonder une dynastie qui marquera l'histoire de ce sport, nous en avons les moyens, c'est certain. WORLD CHAMPIONS MY BOY !!!" à pour sa part déclaré au micro Kevin Durant sur le podium, installé au milieu du parquet jonché de confettis de l'Oracle Arena...

Pour conclure cette belle saison 2016-17, voici son resumé, en vidéo :

Lolooooooooooooooooo ^^ Toronto en mode Warriors l'an dernier IRL dommage si près si loin !

Oh cruelle désillusion pour les Raptors qui étaient si prêts de l'exploit mais au final si loin.
Ils ont écrit une belle saison dans leur histoire et cette victoire donne à Durant son premier titre.

Maintenant place à l'intersaison qui va être sûrement décisive pour bons nombre d'équipe.

Je me suis spoilé le résultat sur l'autre topic ^^

Quel dommage pour mes Raptors  Gagner 2 fois à l'Oracle pour débuter les Finals, mener 3-1 pour au final s'incliner  

Le manque d'expérience de ce genre de match sûrement, ils reviendront plus fort, et je me vengerai dans ma partie

Pour toi, place à l'intersaison désormais

Les Raptors champions, ça aurait été beau quand même.
Mais à 3-1, ils auraient dû le faire. Le manque d'expérience aura coûté cher.
Hate de voir ce que va donner l'intersaison.

Ouh cette finale, les Warriors sont revenus de loin! 

Juin 2017 :


Voila, nous entrons en plein dans la période de l'intersaison, parfois théâtre de bouleversements majeurs dans la ligue :

• Tout d'abords, passons en revue les néo-retraités : Avant tout Paul Pierce, Hall of Famer en puissance, qui s'arrête à 39 ans, dont 19 passés en NBA. Un monument qui aura grandement marqué la ligue, en particulier Boston, avec qui il  a remporté un titre en 2008, et surtout joué pendant 15 ans. Son numéro 34 sera d'ailleurs retiré au Garden en début de saison prochaine.
  

Paul Pierce intègre le Hall of Fame, comme de nombreux Celtics avant lui.

Il pourra aller faire du golf avec André Miller, qui aura échoué dans sa quête du titre avec les Cavs, la franchise de ses débuts.
La NBA perd aussi deux de ses élements les plus barrés avec Chris Andersen, le "birdman" et Metta World Peace, qui auront su se mettre au service des plus grandes équipes pour récolter des titres.
Ex champion NBA aussi, mais moins barré, le très clutch Jason Terry s'arrête là également.
Enfin David West quitte la grande ligue par la grande porte, lui qui vient d'obtenir le titre avec les Warriors.

• Avant celle des Free agent, la valse des coachs aura été cet été des plus mouvementée:
  

- Le gros coup de l'été est à New York, qui récupère Mike Budenholzer, pour un contrat de 3 ans. "Entrainer New York, ça reste le rêve de beaucoup de coach. Je suis très fier et motivé, je crois beaucoup en cette équipe". L'ancien coach des Hawks saura-t-il réussir là où Hornacek et Blatt ont échoués la saison passée ?

A Miami, on a décidé de tourner la page de l'ère Spoelstra, en froid avec sa direction depuis la saison passé, qui aura été bien difficile du coté de South Beach, privés de Bosh, et avec leur franchise player Dwayne Wade parti à Chicago... C'est donc Mike D'Antoni qui sera chargé de donner un nouvel essor au Heat. La presse locale est plus que scéptique sur les capacités de leur nouveau coach, au vu des ses expériences récentes, assez mitigées...


Mike Budenholzer arrive à New York avec une grosse pression médiatique

Erik Spoelstra pour sa part s'est envolé pour Sacramento, le poste étant vacant depuis de le départ de Dave Joerger pour Oklahoma City.

Aux Bulls, exit Fred Hoiberg, malgré sa bonne deuxième saison, et c'est l’expérimenté Kevin McHale qui reprend les rènes de l'équipe...
Jeff Hornacek retrouve un banc, chez les Rockets, idem pour Lionel Hollins qui revient à Memphis, où il avait déjà officié entre 2009 et 2013.

Enfin coté "rookies", Michael Goodrich débutera en tant que head coach à Atlanta, et Elijah Nelson (que beaucoup présentent comme un coach surdoué) arrive du coté de New Orleans.

• Enfin, à l'approche de la Draft 2017 qui aura lieu la semaine prochaine, revenons rapidement sur la Draft Lottery, qui s'est déroulé à New York en mai, en plein playoffs:  Les Celtics ont obtenu comme prévus le jackpot. Le 2e pick est quant à lui obtenu par les Knicks. Les Kings complètent le podium. La cuvée 2017 semble d'après les spécialistes du basket universitaire particulièrement talentueuse, et deux des franchises les plus historiques de la NBA possèdes les deux premiers choix... tout les ingrédients sont réunis pour que cette Draft fasse date dans l'histoire de la ligue...
  

La loi implacable des balles de ping-pong à encore sévi...

Gino tjr la alors?

Ah oui beaucoup de changements chez les coachs ! Tu contrôles toujours les Knicks au final pour la saison à venir ? Beau coup en tout cas Budenholzer et y a un beau 2nd choix aussi

Oh la bougeotte chez les coachs! 
D'Antoni à Miami??